Les mauvaises pratiques du métier
Nous sommes quelques acteurs français à faire du bon travail pour nos clients.
Le sauvetage des données est notre priorité. Néanmoins, il existe comme sur tous les marchés des acteurs peu scrupuleux. Voici quelques exemples de pratiques courantes que vous pouvez rencontrées : restez vigilants.
Approche commerciale borderline :
Prix d’appel, frais cachés, harcèlement téléphonique
« La récupération est à 150 euros et le diagnostic est gratuit » : c’est la technique de prix d’appel bas et de « capturer le dossier ». La réalité est tout autre une fois votre support chez eux vous êtes en otage. On vous demandera ensuite 200 euros pour des frais de pièces ou de recherche et développement. Une fois la demande envoyée, on va vous rappeler sans cesse pour demander d’envoyer le disque dur.


Les taux de réussite proche du 100 % !
« 98 % de réussite » : c’est le premier mensonge le plus répandu dans notre métier.
Aucun détail sur la méthode de calcul n’est précisé.
Dans la réalité, la réussite sur les disques durs oscille entre 70 et 80 % selon le niveau technique du laboratoire.
Les centres de dépots déguisés en laboratoire
Les centres de dépot se sont généralisé dans le métier. C’est un service plus qui permet au client de ne pas avoir à expédier lui même le colis. Les laboratoires honnètes indiquent clairement qu’il s’agit d’un centre de dépot. L’hotesse d’accueil se contente de sourire et de renvoyer le colis au laboratoire.
Un exemple:

Une longue liste de ville qui pourrait faire croire que le laboratoire dispose de plusieurs agences.
Le laboratoire joue sur l’ambiguité en ne disant pas qu’il n’a pas de laboratoire sur place. Il se contente de dire nous sommes là. Il va jusqu’à réaliser un site internet dédié par ville avec un téléphone et une adresse locales. C’est une belle illusion.

Comment faire la différence entre l’adresse d’un laboratoire et l’adresse d’un centre de dépôt ?

Ils sont hébergés par des centres d’affaires. Une simple recherche sur Google de l’adresse et vous verrez très vite que c’est un centre d’affaire. Si vous avez un doute, il suffit de vous déplacer et de demander une visite du laboratoire…

Les sociétés étrangères « opaques »
Votre disque dur peut aussi se balader en Europe sans que vous soyez informé. Le plus malhonnête se trouve en Angleterre et souvent les clients l’apprennent quand il est trop tard !
Les avis « nettoyés »
La société la plus malhonnête nettoye régulièrement ces mauvais avis. Elle donne l’impression d’avoir une bonne qualité. La plateforme Truspilot notamment le permet. Il vaut mieux regarder les avis Facebook et google qui sont moins facilement modifiables. Nous possédons une belle collection d’avis disparus.
Pour vérifier les avis d’une société : tapez sur un moteur de recherche ‘ nom de la société avis’.


La mauvaise récupération ou la non récupération facturé !
C’est certainement le pire qui puisse vous arriver. Avec les sociétés françaises sérieuses, vous trouverez facilement un accord pour un remboursement partiel ou total. Avant de payer, demandez un listing avec un état des fichiers pour prévenir se genre de mésaventures.
Le massacre technique ou l’incompétence :
L’entreprise réalise plusieurs erreurs techniques qui empêchent toute récupération ultérieure.
C’est très difficile à prouver.
Le jeune technicien s’il n’est pas correctement formé peu passer à côté d’une solution.
Une deuxième analyse est possible et on peut passer d’un échec à une réussite.
